371
pages – Livre de Poche
2
mai 2019 – Contemporain
7,90
€
Résumé :
Anna, 37 ans, croule sous
le travail et les relances des huissiers. Ses filles, elle ne fait que les
croiser au petit déjeuner. Sa vie défile, et elle l’observe depuis la bulle
dans laquelle elle s’est enfermée. À 17 ans, Chloé a des rêves plein la tête mais
a choisi d’y renoncer pour aider sa mère. Elle cherche de l’affection auprès
des garçons, mais cela ne dure jamais. Comme le carrosse de Cendrillon, ils se
transforment après l’amour. Lily, du haut de ses 12 ans, n’aime pas trop les
gens. Elle préfère son rat, à qui elle a donné le nom de son père, parce qu’il
a quitté le navire. Le jour où elle apprend que ses filles vont mal, Anna prend
une décision folle : elle les embarque pour un périple en camping-car,
direction la Scandinavie. Si on ne peut revenir en arrière, on peut choisir un
autre chemin.
Avis :
J’ai commencé ce livre sur un coup de tête et je
dois dire que j’ai adoré.
On suit trois femmes de différents âges dans la
même famille et à la même époque. On suit les points de vue d’Anna la mère de
famille et de ses filles Chloé et Lily. J’ai beaucoup aimé le point de vue de
Lily qui m’a fait beaucoup rire et m’a rappelé l’humour que l’on peut retrouver
dans le livre « Chère Mamie » et que j’avais beaucoup aimé.
Les différents points de vue nous amène à une réflexion
propre et j’ai aimé que chaque personnage puisse se remettre en question pour
devenir une meilleure personne ou trouver comment avoir un meilleur avenir.
J’aime les histoires avec des road-trip et j’ai
adoré découvrir les pays scandinaves.
Le style de Virginie Grimaldi est très visuel et
l’on est facilement happé par sa plume de plus les chapitres sont courts ce qui
rend la lecture encore plus addictive.
Ma
note : 19/20
Citation :
J'envie les personnes qui
ne se soucient pas de l'image qu'elles renvoient, de ce que pensent les autres.
Les personnes qui ont tellement confiance en elles que rien ne peut les
déstabiliser. Moi, je me remets tellement en question que je suis capable de me
sentir coupable même si je suis victime. Il y en a qui, pour ne pas déplaire,
n'osent pas avouer qu'ils pensent le contraire des gens. Moi, je n'ose même pas
penser le contraire. J'envie ceux qui n'ont pas besoin de l'approbation des
autres pour s'aimer. J'aimerais que la seule approbation qui compte soit la
mienne.
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