dimanche 12 juillet 2020

Abigaël, messagère des anges Tome 1 – Marie-Bernadette Dupuy



 802 pages – Livre de Poche
2019 – Romance Historique
9,70 €

Résumé :

Plus envoûtante que jamais, Marie-Bernadette Dupuy nous conte le destin d'une jeune fille "passeuse d'âme" comme ses aïeules. Charente, 1943, en pleine occupation allemande, Abigaël, orpheline de 16 ans, trouve refuge chez son oncle paternel. Elle apprend peu à peu à connaître sa nouvelle famille, et découvre ses secrets. Elle apprend aussi à user de ses dons, en particulier celui qui fait voir une fillette invisible aux yeux des autres. Qui est-elle ?

Avis :

J’ai acheté ce livre au mois de Janvier car je voulais essayer le style de l’autrice et surtout parce que cela se passait en Charente et que j’adore ce département. Je n’ai pas lu le résumé et même si j’avais beaucoup de réserve car autant se le dire mais c’est un gros pavé. Et pourtant, j’ai englouti ce livre comme l’on mange un gâteau au chocolat, en à peine jours j’avais déjà terminé ce livre et je n’avais qu’une envie me plonger dans la suite.

              On suit Abigaël, qui à la suite de nombreux évènements, doit aller vivre avec sa tante maternelle chez son oncle paternelle en Charente. Et j’ai aimé suivre ce personnage qui découvre les paysages de la Charente et rien que pour ça j’étais déjà conquise. Je me suis lancé dans ce livre sans rien en savoir, et, j’ai aimé me plonger dans cette histoire qui se passe en Charente, pendant la seconde guerre mondiale, si d’habitude l’on est plongé du côté juifs, là on se trouvé plutôt du côté de la résistance ou des habitants qui sont sous l’occupation et doivent continuer à vivre malgré tout. Cela change de ce que j’ai pu lire auparavant, j’ai aimé ma lecture et je peux vous dire que j’ai déjà acheté les tomes suivants.

              Je vous recommande donc cette lecture si vous aimez vous plonger dans la période de la seconde guerre mondiale, dans des régions de France sous fond de romance légère.

Ma note : 18/20

Citation :

Le secret de certains couples que le commun des mortels jugeait mal assortis demeurait derrière la porte close des chambres conjugales.

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