494
pages – Pocket
7
Janvier 2016 – Contemporain
8,10
€
Résumé :
Quand son
mariage et son entreprise familiale font naufrage, Polly Waterford quitte
Plymouth et trouve refuge dans un petit port tranquille d'une île des
Cornouailles. Elle s'installe seule dans un minuscule appartement situé
au-dessus d'une boutique laissée à l'abandon. Pour se remonter le moral, elle
se consacre à son plaisir favori : fabriquer du pain. Alors qu'il n'y a plus
dans le village qu'une boulangère irascible au pain sans saveur, les arômes de
levain qui s'échappent de chez elle attirent très vite la curiosité et la
sympathie des habitants. Petit à petit, d'échanges de services en petits
bonheurs partagés, elle ravive l'esprit d'entraide et de partage dans le
village.
Avis :
Je suis tombée sur ce livre en faisant voyager
mon regard le long des étagères de la bibliothèque de mon village. J’avoue
avoir longtemps hésité à acheter ce livre lors de sa sortie poche. Je l’ai
finalement emprunté et acheté après l’avoir lu et aimé.
On suit Polly qui vient de faire faillite dans l’entreprise
qu’elle dirige avec son compagnon et qui sur un coup de tête décide de partir
pour une petite île des Cornouailles afin de changer d’air. Je dois dire que j’ai
adoré cette histoire.
Ce livre est un bon livre feel-good qui se lit vite et se dévore en un instant. J’ai
adoré découvrir la nouvelle vie de Polly même si le début est un peu long. On y
découvre les paysages de cette île perdue au milieu de l’océan et cela nous
donne juste envie de faire comme Polly et de se trouver une petite île.
Cette histoire est rafraichissante et même si l’histoire
d’amour n’est pas très intéressante ainsi que le maigre triangle amoureux qui
heureusement ne se profile pas, on est happé par l’histoire de Polly et l’on a
envie de savoir si elle va réussir à se forger une nouvelle vie loin de toute l’agitation
de la grande ville.
Ma
note : 17/20
Citation : Parfois,
quand vous êtes au large, et qu'il n'y a que vous au milieu de toute cette eau
et rien d'autre, et que c'est le milieu de la nuit, et avec toutes ces étoiles
au-dessus de votre tête, trop loin du phare pour en deviner même la lueur, vous
vous sentez appartenir, comment dire, à quelque chose de tellement plus grand
que vous…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire